Hydrocurage agricole

L’association hydrocurage et séparateur à tamis vibrant permet, outre le temps gagné et
les économies d’eau, d’obtenir un fumier de bonne qualité, facile à épandre ou à composter, mais également d’avoir une grande propreté sous les couloirs dans le bâtiment et ainsi
améliorer l’environnement sanitaire.

UN OU PLUSIEURS COULOIRS
Le principe d’hydrocurage s’adapte à tous les élevages. Dans le cas de plusieurs couloirs et de l’utilisation d’une ou plusieurs trappes dans une réserve, il faut prévoir un volume d’eau suffisant.

ECONOMIQUE
Si le gain de temps permet de mieux rationaliser le travail dans l’exploitation, l’assèchement partiel du fumier limite considérablement les volumes à transporter.

SEPT ÉTAPES POUR UNE GESTION OPTIMISÉE

• Largage •
C’est facile !
L’eau est stockée dans une réserve installée au bout du ou des couloirs.
Ce système est simple et économique.

• Hydrocurage •
C’est simple !
Une vague d’eau suffit à évacuer les déjections, même pailleuses. Effectuer un lavage dans les stabulations évite toute formation de croûtes et d’encrassement du béton. Cela contribue également à l’amélioration du niveau sanitaire et d’une ambiance saine pour les animaux.
Ce système de nettoyage lave de 1 à 20 couloirs de stabulation.

• Récupération •
C’est pratique !
Eau et déjections sont récupérées et envoyées dans une fosse de traitement. Aucune intervention n’est nécessaire. Une simple rigole suffit pour récupérer le jus. Il est possible de protéger les passages au-dessus de la rigole de récupération, par une trappe hydraulique.

• Homogénéisation •
C’est efficace !
Le brassage répété des jus arrivant des couloirs favorise une bonne homogénéisation, préparation favorable à une séparation efficace. La puissance du mélangeur doit être choisie en fonction du volume de la fosse et de l’état des matières à traiter.

• Séparation •
C’est performant !
Cette phase est le cœur du système. Les vibrations du tamis suffisent pour séparer les liquides et les matières solides. Le liquide passe au travers des mailles du tamis et est récupéré dans une cuve de réception. Les matières séparées tiennent en tas et montent très vite en température. Le fumier est plus compact, très concentré et facilement compostable.

• Aspersion •
C’est BON pour l’écosystème!
Une pompe aspire les liquides faiblement chargés. Ils servent à arroser les prairies proches des bâtiments. La surface arrosée est longue de 120 m et va jusqu’à 24 m en largeur.

• Stockage •
C’est économique !
Les liquides purifiés lors de la séparation sont stockés dans une réserve. Le liquide sera repris pour un nouveau cycle d’hydrocurage.